Portrait de grisonj
Affiliation : 
Université Grenoble Alpes
Statut : 
Chercheur associé
Ingénieur d'études
Non permanent.e
Domaines de recherche : 
Aménagement
amnagement du territoire
Constructions territoriales et territorialités
Développement local
Développement soutenable
Développement territorial
Dynamique des marges
dynamiques socio-spatiales
Géographie humaine et régionale
Géographie sociale
Géographie territoriale
innovation sociale et territoriale
innovations sociales transformatives
Territoire
Territorialités
Utopie
Équipe de recherche : 
Bureau : 
2304

Onglet(s)

Présentation

Chargé de mission "valorisation socioéconomique et formation" au sein du Labex ITTEM (Innovations et Transitions Territoriales En Montagne) depuis 2021.

Recruté en octobre 2017 pour un contrat de post-doctorat intitulé :

Constitution d'un outil collaboratif sur les innovations sociales à capacité transformative en milieu montagnard

Docteur en géographie depuis 2009, j'ai réalisé entre 2011 et 2016 plusieurs contrats de recherche pour le compte du CERAMAC de l'Université Blaise-Pascal de Clermont-Ferrand. Plus de détail ici :

http://ceramac.univ-bpclermont.fr/rubrique54.html

Titre de la thèse : 
La très petite commune en France : héritage sans avenir ou modèle original ?
Dates : 
septembre, 2005 - décembre, 2009
Directeur.s / Directrice.s extérieur.e.s : 
Jean-Paul DIRY
Résumé de la thèse : 

En France, le maillage administratif et la répartition de la population sont tels qu’un peu plus d’un millier de communes ont moins de 50 habitants au recensement de 1999. Six cents autres ont été recensées en dessous de ce seuil lors d’un ou plusieurs dénombrements depuis 1962. Face aux exigences actuelles, en matière de gestion du territoire et d’action politique, le statut et les capacités des plus petites collectivités territoriales font l’objet d’un débat récurrent depuis de nombreuses décennies. Les géographes ont assez peu contribué, jusqu’à ce jour, à ce débat. Cette thèse de géographie a pour objet d’ apporter un angle de vue général (à l’échelle de l’ensemble du territoire national) et géographique, en traitant en particulier les questions de la répartition des très petites communes, de leurs modes de vie et dynamiques spécifiques, ainsi que de la construction territoriale particulière dont elles sont l’héritage et qu’elles engendrent encore aujourd’hui. Les interactions spatiales entre les plus petites unités et les communes voisines plus peuplées, ainsi que les opportunités de regroupements intercommunaux, sous diverses formes, sont également abordées. Ces très petites entités, dont le potentiel et les perspectives sont aléatoires, nous permettent de mettre au jour l’ampleur de la variabilité du modèle français d’organisation de la gestion territoriale et du développement local.